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Depuis 15 ans, Stéphane Montefiore s’inspire de la mer et peint des vagues, des pieuvres et autres méduses dans des toiles figuratives qui flirtent avec l’abstraction. On y décèle ainsi l’influence du dernier Monet, mais également de Mark Rothko, pour la poésie des formes colorées, ou d’Olivier Debré, grand amoureux de l’eau et de la Loire. Un héritage assumé par le peintre qui souhaite « abolir la frontière entre art classique et contemporain et confronter le spectateur à quelque chose d’immersif. » A travers son titre, « Grande marée » en italien, l’exposition évoque la montée des océans, une menace de Venise à la côte normande.
 
Claude Monet, Nymphéas, 1903
 
Fabienne VERDIER, Flow,2016
 
TURNER, Rain, stream and speed, 1844