œuvre observée: Mathilde Caylou, Là où j'ai attrapé l'air, 2010
Œuvre isolée car la seule au plafond, mais en relation avec les autres par contraste + ombres portées projetées en continuité avec la constellation de cadres à gauche. Pas in-situ mais dialogue par jeu de reflets.
Élévation sol/ciel. Questionne la place du spectateur dans le lieu.
La suspension est la clé du dispositif: légèreté//menace; terrestre//aquatique-> si on change la présentation, on change le sens.
Possibilité d'ajouter une dimension sonore ou des poufs pour permettre aux spectateurs de s'allonger et rester sous l’œuvre.